#Fiersdenosétudiants - Quentin, étudiant aux Beaux-Arts et créatif touche-à-tout
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[Portrait réalisé en décembre 2021]
Crédits photos : CLACK - Alice GREGOIRE
Quentin était titulaire d’un master Exposition Production des œuvres d’art contemporain quand il a décidé de rejoindre, en septembre 2020, Nantes et l’école des Beaux-Arts en troisième année, poussé par "l’envie de vivre l’expérience un peu spéciale d’une école d’Arts, de connaître l’ambiance collective de création".
La création, Quentin s’y frotte chaque jour depuis 8 ans. Il produit de la vidéo, du son, de la photo, des décors, des costumes, des sculptures. Il travaille la céramique, le bois, le verre… "J’ai créé une fiction pour aborder différents thèmes de réflexion, je crée maintenant les éléments dont j’ai besoin pour lui donner corps".
Pour l’étudiant de 25 ans, les moyens et l’organisation proposés par l’école des Beaux-Arts de Nantes en font LE lieu idéal !
Installés au cœur d’espaces partagés, les ateliers mis à disposition de chacun sont aussi des lieux de passage. Là où certains seraient perturbés dans leur concentration, Quentin perçoit cette situation comme une chance. "Il y a ce que les professeurs apportent et il y a les discussions avec les autres élèves. Cela fait partie du processus créatif". Et ça ne s’arrête jamais vraiment, à l’école, chez lui…
L’étudiant des Beaux-Arts prépare également un Master interdisciplinaire "Civilisations Cultures et société" proposé par la Faculté de langues et de cultures étrangères, en partenariat avec l’École des Beaux-arts et l’École Centrale. Ciblé sur la gestion de projet, il est l’occasion de mener un travail de groupe en bénéficiant de tutorat : "Nous avons choisi de monter un échange de jeunes Erasmus+, une résidence collective avec des participants de 18 à 30 ans issus de différents pays d’Europe et qui se terminera par une exposition". Un thème qui n’est pas que le fruit du hasard : Quentin est aussi formateur sur des échanges Erasmus+.
Depuis son arrivée à Nantes, Quentin est aussi membre du Bureau des étudiants. Les événements reprennent doucement après la crise sanitaire. Cineclub, cuisine, installation d’un jardin, d’un compost. Quentin apprécie ce cocon créatif mais commence néanmoins à prendre contact avec d’autres BDE de Nantes Université. "Ce serait l’occasion de nous confronter à des salles d’accrochage différentes, avec des murs pas forcément blancs, d’apprendre à travailler avec des partenaires, d’organiser des vernissages… ".
Après son master, Quentin envisage un doctorat. Mais là encore, l’étudiant résolument touche-à-tout sera à la croisée de quelques chemins "J’aimerais faire de la recherche en études plastiques, en lien avec la philosophie ou l’esthétique. Ou alors un post-diplôme dans une autre ville, par exemple sur la céramique à Limoges. Cela me permettrait d’explorer d’autres choses".
Crédits photos : CLACK - Alice GREGOIRE
Quentin était titulaire d’un master Exposition Production des œuvres d’art contemporain quand il a décidé de rejoindre, en septembre 2020, Nantes et l’école des Beaux-Arts en troisième année, poussé par "l’envie de vivre l’expérience un peu spéciale d’une école d’Arts, de connaître l’ambiance collective de création".
La création, Quentin s’y frotte chaque jour depuis 8 ans. Il produit de la vidéo, du son, de la photo, des décors, des costumes, des sculptures. Il travaille la céramique, le bois, le verre… "J’ai créé une fiction pour aborder différents thèmes de réflexion, je crée maintenant les éléments dont j’ai besoin pour lui donner corps".
Ne pas s’enfermer, jamais !
Pour l’étudiant de 25 ans, les moyens et l’organisation proposés par l’école des Beaux-Arts de Nantes en font LE lieu idéal !Ce qui lui plait aussi, c’est la possibilité de pratiquer de multiples disciplines, grâce à des ateliers techniques auxquels il n’est pas nécessaire de s’inscrire pour tout un semestre : "un jour je peux travailler le verre, le lendemain la sérigraphie et le surlendemain du métal. Cette approche pluridisciplinaire et cette liberté, c’est aussi ce que je venais chercher".C’est un cadre de production assez unique. Nous avons du matériel, de l’espace : je peux faire des choses qui ont beaucoup plus d’ampleur que ce que je faisais tout seul dans mon appartement
Installés au cœur d’espaces partagés, les ateliers mis à disposition de chacun sont aussi des lieux de passage. Là où certains seraient perturbés dans leur concentration, Quentin perçoit cette situation comme une chance. "Il y a ce que les professeurs apportent et il y a les discussions avec les autres élèves. Cela fait partie du processus créatif". Et ça ne s’arrête jamais vraiment, à l’école, chez lui…
Un double cursus
L’étudiant des Beaux-Arts prépare également un Master interdisciplinaire "Civilisations Cultures et société" proposé par la Faculté de langues et de cultures étrangères, en partenariat avec l’École des Beaux-arts et l’École Centrale. Ciblé sur la gestion de projet, il est l’occasion de mener un travail de groupe en bénéficiant de tutorat : "Nous avons choisi de monter un échange de jeunes Erasmus+, une résidence collective avec des participants de 18 à 30 ans issus de différents pays d’Europe et qui se terminera par une exposition". Un thème qui n’est pas que le fruit du hasard : Quentin est aussi formateur sur des échanges Erasmus+.
S’ouvrir aux autres associations de Nantes Université
Depuis son arrivée à Nantes, Quentin est aussi membre du Bureau des étudiants. Les événements reprennent doucement après la crise sanitaire. Cineclub, cuisine, installation d’un jardin, d’un compost. Quentin apprécie ce cocon créatif mais commence néanmoins à prendre contact avec d’autres BDE de Nantes Université. "Ce serait l’occasion de nous confronter à des salles d’accrochage différentes, avec des murs pas forcément blancs, d’apprendre à travailler avec des partenaires, d’organiser des vernissages… ".Après son master, Quentin envisage un doctorat. Mais là encore, l’étudiant résolument touche-à-tout sera à la croisée de quelques chemins "J’aimerais faire de la recherche en études plastiques, en lien avec la philosophie ou l’esthétique. Ou alors un post-diplôme dans une autre ville, par exemple sur la céramique à Limoges. Cela me permettrait d’explorer d’autres choses".
Mis à jour le 02 juin 2023.